vendredi 6 août 2010

Un peintre et un poète

Dans le cours, comme devoir on devais écrire un texte sur un peintre et un poète de notre pays. Dans le cas du poète, on devais traduire un de ses poèmes:

Un peintre: Moisés Becerra

Le tableau: La mort du dragon (1995)

Il est né à Dulce Nombre de Culmí, en 26 décembre 1926. Il a coursé l’école et le lycée à San Pedro Sula, où il a connu à Lorenzo Escoto, professeur qui a levé son spirit artistique. En 1944, il s’est inscrit dans l’école nationale de beaux arts. Puis, il a voyagé à L’Italie pour continuer avec ses études à Roma.

Pendant ses premiers ans, il était fortement influencé pour le réalisme social et puis pour le cubisme. Ses peintres ont été exposées individuellement pour tout l’Amérique et quelques villes de L’Europe.

Un poete: Edilberto Cardona Bulnes



(Né en 1935 –Mort en 1991, Comayagua) Peut-être, un de plus grand poètes et le moins connu de Honduras, parce que ses ouvres ont été publié dans une seule édition et avec sa mort beaucoup des textes restent pour se donner a connaître. Il y a plusieurs des rumeurs sur sa vie, pour exemple se dit que Samuel Beckett lui a envoyé un anneau pour lui féliciter à cause de le Prix « Café Marfil » puisqu’il avait lu le livre « Des Intérieurs » pendant un voyage à Madrid. Mais l’unique vérité, c’est qu’Il a travaillé comme professeur d’espagnol dans sa ville et à San Miguel, dans El Salvador, presque tout son existence et qu’il a subi dans la pauvreté pendant les derniers ans de sa vie.

Pendant sa vie, il a publié : "Des anges sont morts" (Prix « Jorge Federico Travieso » ), "Des Intérieurs" (Prix « Café marfil » en Espagne), "Un animale-ombre", "Lévitique", "Jonás" (Prix EDUCA) et "Cinq poèmes dans une anthologie de l’Université Nationale Autonome d'Honduras". Actuellement, il y a un prix de poésie à Comayagua qui a son nom et qui se donné chaque année pour un poète jeune de notre pays.

Ses poèmes se caractérisent pour être extrêmement larges et parler de thèmes comme l’amour, la religion, la famille, la mort, la solitude et le rôle de la poésie et la langue dans l’humanité.

Ulysse (Un fragment du poème)

(…) Ici, je souffre la joie d’être moi. Brûler l’huile.
Prendre la bulle de musique, un pistil de la lumière. Une mie
de l’amour qui, en tombant de la table, le cœur la sent, lèche et mange.
Je meurs de vivre. En mourant de ce que j’aime,
ici je suis là, une voile de la mort. Voile changée qui sans bonheur
un marin a porté sous la pluie. Parce que je viens, je pars.
Pénélope m’éclair. À ses pieds, j’ancrerai toujours mon nautonier.
Et dans une poitrine où j’ai veillé mes raisins,
J’entrerai mendiant de moi-même. Coryphée des vagues, du vent
J’abandonnerai mes bagages jusqu'à arriver à elle
sans rien de plus que moi. Finalement : moi.

Original du espagnol

Fragmento del poema “Ulises”

(…)Aquí peno el gozo de ser yo. Quemar el aceite.
Coger la burbuja de música, un pistilo de luz, una miga
de amor que cayendo de la mesa el corazón la huele, lame, come.
Se muere de vivir. Muriendo de lo que amo
aquí me tengo allí vela de muerte. Mudada que sin dicha
un marinero llevó bajo la lluvia. Porque vengo me voy.
Penélope me alumbra. A sus pies anclaré nauta siempre,
y en un pecho donde he velado mis uvas
entraré mendigo de mí mismo. Corifeo de olas, de viento.
Abandonaré mi equipaje hasta llegar a ella
sin nada más que yo. Por fin: yo.

2 commentaires:

Ninch a dit…

Pourquoi as-tu choisi ce peintre?

Manuel a dit…

Parce que... je n'ai trouvé autre... xD