samedi 14 août 2010

Lettres de mon moulin


Ecrivain : Alphonse Daudet

Il est né à Nîmes en 1840, il a étudié dans le Lycée Ampère ; mais il a du abandonné ses études a cause de la ruine de son père, qui étais un commerçant. Il devient professeur du collège d’Alès. Il a écris sa premier roman en 1868 : La petit Chose. Puis, il a voyagé a Paris et a veçu un vie bohème. En 1859, il a publié « Les Amoureuses » et collabore avec plusieurs journaux. En 1861, il a travaillé avec le Duc Morny comme son secrétaire. Puis d’un voyage a la Provence, il a commencé a écrire ses « Lettres de mon moulin » entre 1862 et 1865. Ses ouvres son autobiographiques en général. Il est mort à Paris à l’âge de 57 ans en 1987 à cause d’une maladie.

Ouvre: Lettre de mon moulin

Cette a ouvre, publié originalement dans journaux de Paris. Ils sont histoire sur le pays natal de Daudet en Provence ; dans lesquelles il parle de costumes, des costumbrisme, des Legends, de l’histoire populaire et de la vie paisible dans les champs. J’aime de cette livre, sur tout, cette dernière part et la manière avec laquelle Alphonse nous fais voir que « Comment voulez vous que je regrette Paris Bruyant et noir ?». Cette livre a 13 lettres.

Un compte : La chèvre de monsieur Seguin

Le compte que j’ai aimé le plus, c’est qui parle sur le Monsieur Seguin qui achète toujours des chèvres ; mais toutes échappent pour la forêt et elles sont mangées pour les loups. Seguin décide acheter une petite chèvre qui s’appelle Blanchette à cause de son couleur blanche, et un jour elle décide fuir aussi. En principe, elle est heureuse ; mais pendant la nuit elle est attachée pour un loup, mais elle se battre jusqu'à la nuit pour survivre ; finalement, elle est morte. La lettre est dirigée d’un ami par Alphonse, parce qu’il a décidé abandonner tout et vivre comme poète avec total liberté ; mais la triste morale de la histoire c’est que touts qui lui cherche, ils ont un fin comme ce de Blanchette : « c’est le prix de la liberté »

vendredi 6 août 2010

Un peintre et un poète

Dans le cours, comme devoir on devais écrire un texte sur un peintre et un poète de notre pays. Dans le cas du poète, on devais traduire un de ses poèmes:

Un peintre: Moisés Becerra

Le tableau: La mort du dragon (1995)

Il est né à Dulce Nombre de Culmí, en 26 décembre 1926. Il a coursé l’école et le lycée à San Pedro Sula, où il a connu à Lorenzo Escoto, professeur qui a levé son spirit artistique. En 1944, il s’est inscrit dans l’école nationale de beaux arts. Puis, il a voyagé à L’Italie pour continuer avec ses études à Roma.

Pendant ses premiers ans, il était fortement influencé pour le réalisme social et puis pour le cubisme. Ses peintres ont été exposées individuellement pour tout l’Amérique et quelques villes de L’Europe.

Un poete: Edilberto Cardona Bulnes



(Né en 1935 –Mort en 1991, Comayagua) Peut-être, un de plus grand poètes et le moins connu de Honduras, parce que ses ouvres ont été publié dans une seule édition et avec sa mort beaucoup des textes restent pour se donner a connaître. Il y a plusieurs des rumeurs sur sa vie, pour exemple se dit que Samuel Beckett lui a envoyé un anneau pour lui féliciter à cause de le Prix « Café Marfil » puisqu’il avait lu le livre « Des Intérieurs » pendant un voyage à Madrid. Mais l’unique vérité, c’est qu’Il a travaillé comme professeur d’espagnol dans sa ville et à San Miguel, dans El Salvador, presque tout son existence et qu’il a subi dans la pauvreté pendant les derniers ans de sa vie.

Pendant sa vie, il a publié : "Des anges sont morts" (Prix « Jorge Federico Travieso » ), "Des Intérieurs" (Prix « Café marfil » en Espagne), "Un animale-ombre", "Lévitique", "Jonás" (Prix EDUCA) et "Cinq poèmes dans une anthologie de l’Université Nationale Autonome d'Honduras". Actuellement, il y a un prix de poésie à Comayagua qui a son nom et qui se donné chaque année pour un poète jeune de notre pays.

Ses poèmes se caractérisent pour être extrêmement larges et parler de thèmes comme l’amour, la religion, la famille, la mort, la solitude et le rôle de la poésie et la langue dans l’humanité.

Ulysse (Un fragment du poème)

(…) Ici, je souffre la joie d’être moi. Brûler l’huile.
Prendre la bulle de musique, un pistil de la lumière. Une mie
de l’amour qui, en tombant de la table, le cœur la sent, lèche et mange.
Je meurs de vivre. En mourant de ce que j’aime,
ici je suis là, une voile de la mort. Voile changée qui sans bonheur
un marin a porté sous la pluie. Parce que je viens, je pars.
Pénélope m’éclair. À ses pieds, j’ancrerai toujours mon nautonier.
Et dans une poitrine où j’ai veillé mes raisins,
J’entrerai mendiant de moi-même. Coryphée des vagues, du vent
J’abandonnerai mes bagages jusqu'à arriver à elle
sans rien de plus que moi. Finalement : moi.

Original du espagnol

Fragmento del poema “Ulises”

(…)Aquí peno el gozo de ser yo. Quemar el aceite.
Coger la burbuja de música, un pistilo de luz, una miga
de amor que cayendo de la mesa el corazón la huele, lame, come.
Se muere de vivir. Muriendo de lo que amo
aquí me tengo allí vela de muerte. Mudada que sin dicha
un marinero llevó bajo la lluvia. Porque vengo me voy.
Penélope me alumbra. A sus pies anclaré nauta siempre,
y en un pecho donde he velado mis uvas
entraré mendigo de mí mismo. Corifeo de olas, de viento.
Abandonaré mi equipaje hasta llegar a ella
sin nada más que yo. Por fin: yo.