mercredi 15 juillet 2015

Il n'y a pas d'amour heureux

Pour suivre avec des chansons françaises, ce poème a été écrit par Louis Aragon (1897-1982), mis en musique par George Brassens et chanté par Françoise Hardy.


IL N'Y A PAS D'AMOUR HEUREUX

Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
Il n'y a pas d'amour heureux

Sa vie Elle ressemble à ces soldats sans armes
Qu'on avait habillés pour un autre destin
A quoi peut leur servir de se lever matin
Eux qu'on retrouve au soir désoeuvrés incertains
Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes
Il n'y a pas d'amour heureux

Mon bel amour mon cher amour ma déchirure
Je te porte dans moi comme un oiseau blessé
Et ceux-là sans savoir nous regardent passer
Répétant après moi les mots que j'ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent
Il n'y a pas d'amour heureux

Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos coeurs à l'unisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
Il n'y a pas d'amour heureux

Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri
Et pas plus que de toi l'amour de la patrie
Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs
Il n'y a pas d'amour heureux
Mais c'est notre amour à tous les deux

-Louis Aragon.


NO HAY AMOR FELIZ

El hombre no puede poseer nada jamás, ni su fuerza,
ni su debilidad, ni su corazón.  Y cuando él cree
abrir sus brazos, su sombra es la de una cruz.
Y cuando cree estrechar su felicidad, la tritura.
Su vida es un extraño y doloroso divorcio.
“No hay amor feliz”.

Su vida es como la de un soldado sin brazos
que se había vestido para otro destino
¿De qué les puede servir levantarse por la mañana
a aquellos que encontramos desocupados e inciertos por la tarde?
Di estas palabras, mi vida, y contén tus lágrimas:
“No hay amor feliz”.

Mi bello amor, mi querido amor, mi desgarramiento,
te llevo en mí como un pájaro herido,
Y aquellos que, sin saberlo, nos miran pasar,
repiten, después de mí, las palabras que yo he trenzado
y las cuales, por tus grandes ojos, en seguida mueren:
“No hay amor feliz”.

El tiempo para aprender a vivir ha pasado ya,
Que lloren durante la noche nuestros corazones al unísono,
lo que hace falta de maldad para la menor canción,
lo que hace falta de añoranza para pagar un escalofrío,
lo que hace falta de sollozos para un aire de guitarra.
“No hay amor feliz”.

No hay amor feliz que no sea dolor
No hay amor feliz que no sea herir
No hay amor feliz que no sea marchitar
Y no más que de ti, el amor a la patria,
No hay amor que no viva de lágrimas,
No hay amor feliz,
mas este es nuestro amor, el de nosotros dos.

-Louis Aragon.

samedi 14 août 2010

Lettres de mon moulin


Ecrivain : Alphonse Daudet

Il est né à Nîmes en 1840, il a étudié dans le Lycée Ampère ; mais il a du abandonné ses études a cause de la ruine de son père, qui étais un commerçant. Il devient professeur du collège d’Alès. Il a écris sa premier roman en 1868 : La petit Chose. Puis, il a voyagé a Paris et a veçu un vie bohème. En 1859, il a publié « Les Amoureuses » et collabore avec plusieurs journaux. En 1861, il a travaillé avec le Duc Morny comme son secrétaire. Puis d’un voyage a la Provence, il a commencé a écrire ses « Lettres de mon moulin » entre 1862 et 1865. Ses ouvres son autobiographiques en général. Il est mort à Paris à l’âge de 57 ans en 1987 à cause d’une maladie.

Ouvre: Lettre de mon moulin

Cette a ouvre, publié originalement dans journaux de Paris. Ils sont histoire sur le pays natal de Daudet en Provence ; dans lesquelles il parle de costumes, des costumbrisme, des Legends, de l’histoire populaire et de la vie paisible dans les champs. J’aime de cette livre, sur tout, cette dernière part et la manière avec laquelle Alphonse nous fais voir que « Comment voulez vous que je regrette Paris Bruyant et noir ?». Cette livre a 13 lettres.

Un compte : La chèvre de monsieur Seguin

Le compte que j’ai aimé le plus, c’est qui parle sur le Monsieur Seguin qui achète toujours des chèvres ; mais toutes échappent pour la forêt et elles sont mangées pour les loups. Seguin décide acheter une petite chèvre qui s’appelle Blanchette à cause de son couleur blanche, et un jour elle décide fuir aussi. En principe, elle est heureuse ; mais pendant la nuit elle est attachée pour un loup, mais elle se battre jusqu'à la nuit pour survivre ; finalement, elle est morte. La lettre est dirigée d’un ami par Alphonse, parce qu’il a décidé abandonner tout et vivre comme poète avec total liberté ; mais la triste morale de la histoire c’est que touts qui lui cherche, ils ont un fin comme ce de Blanchette : « c’est le prix de la liberté »

vendredi 6 août 2010

Un peintre et un poète

Dans le cours, comme devoir on devais écrire un texte sur un peintre et un poète de notre pays. Dans le cas du poète, on devais traduire un de ses poèmes:

Un peintre: Moisés Becerra

Le tableau: La mort du dragon (1995)

Il est né à Dulce Nombre de Culmí, en 26 décembre 1926. Il a coursé l’école et le lycée à San Pedro Sula, où il a connu à Lorenzo Escoto, professeur qui a levé son spirit artistique. En 1944, il s’est inscrit dans l’école nationale de beaux arts. Puis, il a voyagé à L’Italie pour continuer avec ses études à Roma.

Pendant ses premiers ans, il était fortement influencé pour le réalisme social et puis pour le cubisme. Ses peintres ont été exposées individuellement pour tout l’Amérique et quelques villes de L’Europe.

Un poete: Edilberto Cardona Bulnes



(Né en 1935 –Mort en 1991, Comayagua) Peut-être, un de plus grand poètes et le moins connu de Honduras, parce que ses ouvres ont été publié dans une seule édition et avec sa mort beaucoup des textes restent pour se donner a connaître. Il y a plusieurs des rumeurs sur sa vie, pour exemple se dit que Samuel Beckett lui a envoyé un anneau pour lui féliciter à cause de le Prix « Café Marfil » puisqu’il avait lu le livre « Des Intérieurs » pendant un voyage à Madrid. Mais l’unique vérité, c’est qu’Il a travaillé comme professeur d’espagnol dans sa ville et à San Miguel, dans El Salvador, presque tout son existence et qu’il a subi dans la pauvreté pendant les derniers ans de sa vie.

Pendant sa vie, il a publié : "Des anges sont morts" (Prix « Jorge Federico Travieso » ), "Des Intérieurs" (Prix « Café marfil » en Espagne), "Un animale-ombre", "Lévitique", "Jonás" (Prix EDUCA) et "Cinq poèmes dans une anthologie de l’Université Nationale Autonome d'Honduras". Actuellement, il y a un prix de poésie à Comayagua qui a son nom et qui se donné chaque année pour un poète jeune de notre pays.

Ses poèmes se caractérisent pour être extrêmement larges et parler de thèmes comme l’amour, la religion, la famille, la mort, la solitude et le rôle de la poésie et la langue dans l’humanité.

Ulysse (Un fragment du poème)

(…) Ici, je souffre la joie d’être moi. Brûler l’huile.
Prendre la bulle de musique, un pistil de la lumière. Une mie
de l’amour qui, en tombant de la table, le cœur la sent, lèche et mange.
Je meurs de vivre. En mourant de ce que j’aime,
ici je suis là, une voile de la mort. Voile changée qui sans bonheur
un marin a porté sous la pluie. Parce que je viens, je pars.
Pénélope m’éclair. À ses pieds, j’ancrerai toujours mon nautonier.
Et dans une poitrine où j’ai veillé mes raisins,
J’entrerai mendiant de moi-même. Coryphée des vagues, du vent
J’abandonnerai mes bagages jusqu'à arriver à elle
sans rien de plus que moi. Finalement : moi.

Original du espagnol

Fragmento del poema “Ulises”

(…)Aquí peno el gozo de ser yo. Quemar el aceite.
Coger la burbuja de música, un pistilo de luz, una miga
de amor que cayendo de la mesa el corazón la huele, lame, come.
Se muere de vivir. Muriendo de lo que amo
aquí me tengo allí vela de muerte. Mudada que sin dicha
un marinero llevó bajo la lluvia. Porque vengo me voy.
Penélope me alumbra. A sus pies anclaré nauta siempre,
y en un pecho donde he velado mis uvas
entraré mendigo de mí mismo. Corifeo de olas, de viento.
Abandonaré mi equipaje hasta llegar a ella
sin nada más que yo. Por fin: yo.

mardi 26 janvier 2010

25-01-10

Sans avoir rien pour écrire, mais je veux essayer. Pendant les derniers jours j’ai me donné la compte de que j’ai beaucoup des erreurs et l’unique raison pour ouvrir ce blog, c’est que quelqu’un ou quelqu’une pouvait faire des corrections, mais apparentement il n’y a personne intéressé. En fin, j’ai de la patience et attendrai.

mercredi 20 janvier 2010

Lecture pendat ces jours

Excuse-moi, je suis vraiment désolé, parce que je n’ai pu écrire dans ce blog pendant les lundis derniers. Beaucoup de choses m’on fait oublier ma responsabilité, mais c’est autre histoire. Maintenant, je me suis imposé de lire deux livres ce trimestre : Le premier est « La vie est Ailleurs » de Milan Kundera et le deuxième est « L’histoire de le cinéma français ».
Pour ce que j’ai pu lire dans l’introduction de « La vie est Ailleurs » Milan Kundera est un écrivain Tchèque qui sui né dans la ville de Bron le 1 avril 1929. Ludvik Kundera, son père, était musicien et pianiste, un directeur de l’académie de la musique. Pendant 1948 Milan s’a uni au parti communiste et puis il est expulsé. Kundera a perdu son travaille a cause de ça et doit vivre de musicien jusqu’au fin de ses études. En premier lieu, de littérature dans l’université Carolina de Prague et après de Cinéma dans la faculté de cinéma de l’académie de Prague. Il a fini en 1952. En 1956, il a retourné au parti communiste dont il a été expulsé de nouveau en 1970. Son premier roman, La plaisanterie, a été publié en 1968. Le même an de l’invasion soviétique à cause de laquelle il se trouve poursuivi et avec son ouvre interdite. En 1975, il a émigré à la France où Kundera a publié la majorité de ses ouvres. « La vie est ailleurs » recompte la vie de Jaromil, un jeune avec une mère qui de forme dictatorial a décidé que son fil sera un poète comme Rimbaud, la roman passe pendant plein stalinisme.
L’autre livre est "Cent ans de cinéma français : une brève histoire". Le livre commence avec la invention du cinéma et fini avec des ans 90's.
Nous regardons la nouvelle vague que j’aime et aussi avec bonne images de chaque film que je n’oublierai de écrire dans ma liste de films pour voir.

Quand j'ai fini des livres, j'ai leur racompterai tout. Au revoir et alors, Corrige-moi s’il vous plaît.

dimanche 10 janvier 2010

Bonne nuit et bon jour!

Salut! je suis un étudiant de l'Amérique latin, j'étude dans l'alliance françiase et littérature dans la université national de mon pays, j'ai 25 ans et j'aime beaucoup l'art, le cinéma, le théâtre, le vidéo jeux, le BD, etc.

La raison de ouvrir ce blog est pour pratiquer tout le que j' ai sais de mon cours.



Au revoir